ODeclav
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Voici une photo du menu affiché à l’extérieur (WE dernier) du restaurant Le Bellevue..
Sur Port-Louis, il y a quelques crêperies (à priori, j’ai repéré deux crêperies) et le restaurant sur la plage donnant vue sur Pointe de Gâvre, Groix et Larmor.
Si on se décide, je pense qu’il est préférable de réserver : WE avec un vendredi férié car s’il fait beau, c’est le genre d’endroit où il y aura du monde le samedi soir !
On peut aussi de retrouver assez tôt (17h/18h ?) et décider sur place. Si on ne s’y prend pas à 20h, on devrait trouver de la place …
L’idée si on réserve, c’est que le restaurant quelqu’il soit prévoit de faire une seule table.
J’oubliais, il y a aussi (s’il est tj là) un Contessa 32 à Port-Louis. Superbement entretenu. A voir absolument !J’ai opté pour la solution d’un Té + deuxième vanne montée sur la réserve d’eau douce du bord.
J’ai monté 1 flexible + vanne à la place de chaque purgeur.
Su j’ai du temps pour arrêter le moteur :
Je tire 2 x 1 L d’eau par purgeur. Cela fait descendre le moteur en température.
Ja passe sur le circuit d’eau douce.
Je tire à nouveau 2 x 1L d’eau et le moteur est ainsi laissé avec de l’eau douce dans tout le circuit de refroidissement.
Attention en hiver si on est dans un coin qui gèle !
Autre intérêt : cela permet de renouveler régulièrement l’eau douce du bord.Compléments pour la pompe à eau.
Attention aux vis du couvercle : celles d’origines cassent comme du verre !
Comme l’indique un post de Diamba (http://centurion32.fr/?topic=depose-dun-md2b/#post-1393) il faut faire attention au montage des joints spi. C’est ce qui permet de ne pas avoir d’eau dans le moteur. L’eau qui pourrait passer par le premier joint s’écoule par le petit trou entre les deux joints.
L’huile qui pourrait passer par le joint coté moteur s’écoulera aussi par le trou.
Je ne suis pas parvenu à retirer le joint coté turbine sans le casser.
J’ai remplacé les deux joints préventivement.
Une douille de 17 permet de pousser le premier joint complètement sans l’abimer. Pour l’autre, il faut juste le laisser affleurer.
Je garde une boule de sopalin sous le trou de la pompe pour contrôler un écoulement.
Pour le joint ‘papier’, j’y ai renoncé. A chaque démontage, on constate que ce n’est pas étanche.
Je met un joint silicone. Je fais tourner la turbine en récupérant l’eau avec quelques boulettes de silicone.
Quand c’est bien polymérisé et plus de boulettes, je remonte la pompe.Voici la cible si option Port-Louis : http://www.restobellevue.com. Il faut que j’aille vérifier sur place car de mémoire, je voyais le resto plus vers le port.
En sus, comme l’indique Diamba, c’est un port sympa. A connaître pour ceux qui ne connaissent pas.
C’est le plus rapide pour faire escale dans la Rade : juste à l’entrée et bien abrité.
Liaison par navette maritime vers Lorient.
C’est maintenant la base de plusieurs ‘vieux’ gréements (qui risquent d’être au Tour de Belle Ile le 9 mai …) et aussi du Chance 37 n ° 1 !Le BdTdM est une référence. Pour l’avoir déjà fréquenté, pas d’avis positif, ni négatif !
Ma préférence de ce coté irait plutôt au resto situé près de la cité de la voile.
La rue la plus dense en resto de Port-Louis ne donne pas vue sur la Rade.
Mais il me semble qu’il y a quelque chose en face du quai des pécheurs avec vue sur la Rade depuis une terrasse : je vais y aller le WE prochain pour voir ce que je peux négocier pour 5 à 10 personnes (conjoint(e)s ?).
Vu que l’on ne sera pas plusieurs dizaines, cela devrait être OK pour une résa sur une grande table.J’utilise régulièrement un SPX5, mais pas toute une journée.
Au près, il travaille peu (cf post de Diamba) et il parvient à maintenir le cap sous Spi avec un peu de mer. Mais vu que je n’ai pas de girouette connectée au pilote, je n’ai pas essayé plus de quelques minutes d’allure très près du vent arrière ou de suivre le vent au près.
Si je ne suis pas seul l’utilisation du pilote est occasionnelle.
En régate, à 2, c’est pilote assuré pour le Spi et aussi quelques fois à 3. A 4, plus de pilote.
Je ne pourrais pas m’en passer.Une poire ou une pompe (j’ai mis cela : http://www.svb-marine.fr/fr/pompe-d-arrivee-de-diesel.html) est indispensable.
Je suis tombé en panne de gasoil et j’ai été dans l’incapacité de réamorcer avec 10L dans le réservoir.
Il m’avait fallu à l’époque que je mette 40L et que je purge tout le circuit par gravitation.
Depuis que j’ai mis la pompe, je n’ai pas eu l’occasion de tenter de réamorcer avec quelques litres dans le réservoir.
Mon pré-filtre est aussi mal foutu près de la pompe à eau sur la cloison.
Ce qui fait que la purge d’eau éventuelle n’est jamais effectuée.
J’ai en projet de le décaler à l’avant du moteur pour faire la vérification facilement.
Sur mon pré-filtre, il y a le retour de gasoil : il ne retourne pas au réservoir.
Tant qu’à faire, démonte aussi ton réservoir et nettoie le si tu ne l’as jamais effectué.Peut-être faut-il effectuer plusieurs rencontres et ne pas cibler trop de participants en une fois : on risque de courir indéfiniment vers un hypothétique créneau optimal !!!
Vu ce que j’obtiens avec mon C32 dans 20 à 30 noeuds de vent réel et même allure, même houle et GV haute, génois complètement déroulé et deux à bord, je suis très très réservé sur la validité de l’info.
A moins qu’il ne considère que la vitesse en pointe en partant au surf lors d’une descente de vague.
Au mieux, je n’ai sur Helios (version croisière, bipale fixe) pas plus de 8 à 9 noeuds sur l’eau. Et en vitesse GPS moyennée, jamais vu au dessus de 8 noeud, juste quelques pointes à plus de 7,5 moyennne sur qcqs dizaines de secondes. Si hélice repliable, pas plus de 0,5 à 1 noeud en plus.Rayon d’action de mon coté : à priori toute la Bretagne, mais si c’était à moins de 1h de Lorient, ce serait super.
Pour ceux (seb ?) qui seraient dans le nord, Lorient serait à 2h.
Pour nous 4, le barycentre optimal serait vers Carhaix, mais ce serait plus sympa au bord de l’eau !Bonjour,
Comme Diamba, je suis aussi intéressé par la manip et n’étant pas très loin, peut-être qu’à trois on peut y arriver !
Je crois savoir que ton C32 est échoué contre un quai 2 fois par jour dans une ville bien connue en Bretagne Sud ! Ce qui peut faciliter les choses.
Le point délicat est de désolidariser l’arbre du moteur : je le fais systématiquement quand je suis à sec pour refaire le tube au niveau primaire et vérifier le joint tournant (je l’étire pendant toute la durée du temps de mise à sec).
Sur ma descente, le tasseau en bois a visiblement été refait : trace de collage en biseau.
Je pense que cela a du faciliter la sortie car j’ai une facture d’un ancien propriétaire où il est fait mention que le md2B a été mis dans le carré pour une intervention.
Il est assez lourd (220 Kg) : je pense qu’il faut démonter l’alternateur, le démarreur (j’ai déjà fait)., vider l’huile, l’eau (purgeurs) voire démonter le volant ! Si on a une fuite d’huile de ce coté : à faire impérativement.
Pour la pompe à eau, j’ai changé les deux joints spi en 2012 : je n’ai pas réussi à démonter les joints sans les bousiller. Trop sec ! Cela se remonte très facilement, mais l’accès est exigu et mieux vaut être deux.
Un singe qui se glisse derrière le moteur et un autre qui passe les outils. Une clef à cliquet avec un cardan rend bien service.
Après allègement au maxi du moteur, et démontage de tout ce qui y est relié, on met un palan (GV sur la home avec drisse de GV en renvoi d’effort sur le point d’attache sur la bôme) et on le soulève juste pour qu’il sorte des cylindres.
Il faut peut-être démonter les portes ?
Je suis quasiment sûr qu’il peut sortir facilement : prévoir protections cartons + mousses sur la boiserie.
Peut-être faut démonter l’inverseur ou bien l’incliner ?
En tous cas, je suis volontaire pour la main d’oeuvre et je précise que j’ai effectué cette opération pour un Vetus 12 CV (100 Kg) de mon ex-Delph 28 à flot (c’était un presse étoupe avec un tourteau très facile à désolidariser).
Dans ton cas, première étape, mettre le moteur dans le cockpit.
Deuxième étape à marée haute, le mettre dans une remorque ou autre sur le quai avec la bôme en guise de grue !Bonjour Jérôme,
Mon classe II est un modèle container stocké dans le coffre arrière.
C’est assez moyen s’il faut le retirer rapidement car il faut les deux mains.
je suis aussi partisan de ne pas avoir un radeau sur le roof (prise au vent, manque de visibilité …) ou sur le balcon AR qui n’est pas bien grand sur nos C32.
Un modèle sac cylindrique me semble plus approprié et est moins lourd. Avec les deux anses, on devrait pouvoir le retirer d’une main.
Stocké dans le coffre arrière, il laisse la place pour accéder aux vannes et robinet du réservoir de gasoil.
4 pl hauturier ou 6 pl cotier/semi-hauturier, c’est le même poids et mêmes dimensions.
La révision du hauturier 4 pl est légèrement moins onéreuse que celle du côtier 6 pl. Coût à l’achat comparable.
Le modèle 4 pl cotier est plus petit et encore moins lourd.
Pour le moment je cible le 4 Pl hauturier : je suis d’accord, plus de 4 au delà de la sortie d’une journée, ça risque de devenir invivable !A+
La différence entre le modèle dit course (‘Centurion 32 course’ dans la jauge HN) et l’autre (‘Centurion 32 croisière’ dans la jauge HN) c’est juste le mat et les dimensions en hauteur des voiles qui en découlent. La bordure de la GV, le LPG du génois et la largeur de spi maxi restent identiques. Ils sont crédités de TE différents, mais je n’ai vu aucune différence !
Par contre au niveau équipements, ce serait intéressant d’avoir quelques précisions. Pas sûr qu’à l’époque, le modèle course ait été systématiquement livré avec une hélice repliable (ou mise en drapeau).
Le modèle course sur lequel j’ai navigué a eu son mat de remplacé : pas absolument certain que c’était un modèle course initialement ! Il a deux tangons d’époque identiques au mien à quelques cm près en longueur. 2 paires de winchs non self mailing et un grand rail de génois sur le liston. Rien de prévu pour une patte d’oie pour le halebas de tangon (et aucun des deux tangons n’était équipé de patte d’oie). Toutes les manoeuvres ramenées au cockpit avec prise de ris rapide.
Etai enrouleur à double gorges (pas d’origine). Pas de trimmer.
A ne pas confondre avec
le premier modèle (main courante en forme, pas de coffre plage arrière, deux coffres arrières cockpit et rail GV au milieu du cockpit)
le deuxième modèle (main courante section constante, coffre plage arrière, un grand coffre arrière cockpit, rail GV devant descente)
J’ai vu pas mal de Centurion 32 et selon les exemplaires (au delà des différences entre le premier modèle et le deuxième) :
– La longueur du rail de génois sur le liston est variable
– Présence de 2 petits rails sur les passavant au niveau des bas haubans arrière
– Présence de 2 petits rails sur le roof au niveau des bas haubans arrière
– Une ou deux paires de winchs self tailing ou non
– Balcon ouvert à l’avant (pour faciliter un enmagasineur ?)
– Bas étai largable
– Patte d’oie sur le patara
– Hélice fixe bi ou tripales. Hélice bec de canard bipale. Hélice repliable tripale.
– Ligne d’arbre avec chaise ou sali drive (il semble que le sali drive ne soit pas d’origine)
Il faut en sus distinguer ce qui était livré à la sortie de chantier de ce qui a été remplacé à l’identique ou non et ce qui a été ajouté / amélioré …
Ce qui conduit à avoir chaque Centurion 32 presque unique …Hi Tom,
When I bought my Centurion 32 Helios, I didn’t find any plate id nor the hull number on Helios. Only the 4 holes of the plate in the cockpit. Some months ago I saw the number 336 under a shelf and asked to David Merlot if it could be a tip for the carpenters to identify the shelf to the hull. He replied quickly as usual and confirmed that it could be the hull number.
Unfortunately I didn’t find the number elsewhere so far.
Olivier
